Gouffre des Bruyères, Villars-les-Blamont
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S’il est une première GSAM qui est une vraie légende, c’est bien celle du Gouffre des Buyères !!!
Imaginez, une première qui descend à -180 m avec peu de désob en surface : le rêve !
La jeune génération du club avait toujours entendu parler de ce gouffre mais peu l’avait fait. Ce samedi, sous l’impulsion de Goëry, de passage dans la région, l’idée est lancé !
A 14h, Goëry, Fabien, Auréline, Claude et Cécile se retrouvent sur place. C’est guidés par Claude, un des inventeurs, que nous nous engageons dans le gouffre où un filet d’eau vivifiant nous donne le ton dès l’entrée !
Dans l’entrée du gouffre ...
Un équipement "naturel" ...
C’est Fabien qui est chargé de l’équipement et l’équipe avance rapidement. Du fait de la perte qui coule tout le temps maintenant, on passe par le puits Jean-Claude pour rester un minimum au sec. Les puits sont magnifiques et de jolies images se gravent dans nos têtes ... Tant mieux car nos appareils photos n’arrivent pas à rendre la beauté majestueuse du lieu : gorgées d’humidité et de buée, les photos des gros volumes sont inexploitables !
La descente ...
Les miss au palier ...
Départ dans le puits du Roussilon ...
Les filles n’ont pas dit leur dernier mot ...
Un passage délicat sous une cascade, nécessite quelques contorsions ...
La descente se poursuit mais vers la fin, on manque d’amarrages et la corde est juste ! Heureusement, avec quelques sangles et un peu d’ingéniosité, Fab et Goëry nous font un joli petit équipement qui permet d’arriver pile-poil au fond !
Le dernier puits ...
Claude, qui connait tous les diverticules de la grotte, nous commente la visite. Une fois la visite de la galerie Christian terminée, la remontée s’organise et s’enchaîne rapidement. Pour échapper à l’au vivifiante qui coule de certains puits, les techniques diffèrent : la meilleure reste résolument la technique qui consiste à mettre sa capuche avant la 1ère douche, ce qui évite à l’eau de couler dans le cou. Mais pendant la remontée, tant que l’on ne s’arrête pas, le froid ne se fait pas sentir !
La remontée du P40 se fait à une vitesse impressionnante : même Claude a l’impression d’être remonté plus vite qu’il est descendu, c’est pour dire !!!
La remontée du P40 ...
Une remontée à pleine vitesse ...
Voir la découverte du gouffre